Bonjour à chacun,

veuillez trouver ci-joint le Saint-Cyr L’Eglise pour la semaine prochaine : SCE n°160- 27.11.16

Bonne lecture, belle entrée en Avent et belle semaine !

 

Florence Soulange Teissier

secrétariat paroissial

2 décembre, 1er vendredi du mois, Messe pour prier pour les Vocations à 20h, suivie de 20h30 à 21h d’un temps d’Adoration et confessions.

7 décembre, 19h-20h30, Rencontre des lycéens (enseignement, temps de prière, apéritif), salles paroissiales.

8 décembre, solennité de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie, Messe à 20h, église St-Cyr.

Une « pause spirituelle » sera proposée pour bien se préparer à vivre la fête de Noël 

samedi 17 décembre

pour les femmes, 10h-12h : Café, enseignement, Adoration-Confessions

pour les hommes, 17h-19h : Enseignement, Adoration-Confessions, Apéro.

AVANT NOEL, RECEVOIR LE SACREMENT DE RECONCILIATION
(confessions individuelles)

 

À SAINT-CYR    mercredi 14 décembre, 20h45, veillée Miséricorde avec SITIO
–présence de plusieurs prêtres-

mais aussi aux permanences de confessions assurées par le Père Grosjean
(voir agenda).

 

ET DANS LE DOYENNÉ (présence de plusieurs prêtres)

Mercredi 7 décembre, 20h30 à Plaisir

Vendredi 16 décembre, 20h30 à Fontenay le Fleury

Dimanche 18 décembre, 15h aux Clayes sous Bois (église St Martin)

Beaucoup ne voient pas l’Avent passer, et se retrouvent le 24 décembre avec le sentiment pénible de ne pas être vraiment prêts pour recevoir la grâce de Noël.

En pensant à cela, je vous propose de prendre 48H – du Lundi 19 décembre matin au mercredi 21 décembre matin – pour vivre une pause spirituelle, alternant temps de prière, d’enseignements, de détente, de silence et vous préparer ainsi de façon « efficace » à la joie de Noël. Cette retraite aura lieu à Nouan le Fuzelier, près d’Orléans.

Envoyez-moi vite un email : abbegrosjean@gmail.com pour recevoir les documents d’inscription et toutes les informations.

Osez proposer cette expérience à vos amis, même aux moins pratiquants.

C’est une belle occasion de revenir vers Dieu. Je compte sur vous !

N’attendez pas le dernier moment, cela me facilitera l’organisation.

Tout baptisé qui gagne sa vie est appelé à participer  – même modestement – au denier de l’Eglise. Pour assurer sa mission, l’Eglise ne peut en effet compter que sur les dons de ses fidèles. 50% d’entre vous attendent la fin de l’année pour donner : c’est donc le moment de le faire !

 

Trois précisions :

  • Vos dons sont déductibles à hauteur de 66% de vos impôts > un don de 100 euros ne vous « coûte » concrètement que 34 euros !
  • Le prélèvement mensuel est possible, il est même recommandé : c’est indolore, et vous pouvez le réviser quand vous le souhaitez.
  • L’âge moyen des donateurs est très élevé. Rappelez autour de vous que les plus jeunes doivent prendre la relève! L’important, plus que le montant, est que chacun se sente responsable. De même pour vos amis moins pratiquants : ils sont heureux que l’Eglise soit là pour eux, quand ils en ont besoin.

du samedi 4 au vendredi 10 février 2017 !

Découvrir l’Église depuis ses origines jusqu’à nos jours et visiter des sites pittoresques de la «ville éternelle»!

Prix par personne : 1090€ supplément pour chambre seule 200€.

Contact : Marie-Hélène Tellier pelerinages@catholique78.fr 01 30 97 67 61

Avez-vous déjà fait cette expérience ? Se lever très tôt, alors que tout le monde dort encore. La nuit touche à sa fin. L’aube s’annonce. Le silence règne encore. La nature s’éveille peu à peu. C’est un beau moment, propice à la méditation, à la lecture, à la prière… On comprend un peu ce que veut dire « veiller ». Seul, quand les autres se reposent encore, on est debout pour s’éveiller au jour qui vient, pour l’offrir déjà et se préparer… pour l’annoncer aussi aux autres, telle la sentinelle qui regarde au loin.

L’Avent est le temps des veilleurs. L’Avent est pour cela aussi le temps du silence.

C’est dans le silence que se préparent les grands évènements. C’est dans le silence des cœurs que Dieu travaille, agit et réalise son œuvre jour après jour. C’est dans le silence qu’on apprend à prier, à goûter la présence de Dieu, à l’aimer. C’est dans le silence qu’on trouve Dieu.

« On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. » écrivait Bernanos. Le silence est une forme de résistance à tout ce qui m’éloigne de Dieu ou ce qui me disperse de l’essentiel.

Voilà une belle résolution pour l’Avent : redécouvrir la grâce du silence. Surtout quand la vie professionnelle ou familiale est bruyante, fatigante, stressante… raison de plus pour sauvegarder chaque jour, ou une ou deux fois par semaine, une plage de vrai silence. Pour se retrouver. Pour retrouver Dieu. On n’y arrive pas d’un coup. Il faut apprivoiser le silence. Apprendre à l’habiter, pour ne plus en avoir peur. Mais dans la nuit qui couvre ce monde, une vie intérieure solide, forgée dans le silence, est nécessaire pour voir que le « jour du Seigneur » vient… et tenir ainsi dans l’Espérance.

Père Pierre-Hervé GROSJEAN +

Edito du 27 novembre 2016

PS : une belle lecture de l’Avent > la Force du Silence, du Cardinal Sarah aux éditions Fayard.

Bonjour à chacun,

veuillez trouver ci-joint le Saint-Cyr L’Eglise pour la semaine prochaine : SCE n°159- 20.11.16

Bonne lecture, beau dimanche du Christ Roi et belle semaine !

 

Florence Soulange Teissier

secrétariat paroissial

Quel paradoxe… un homme crucifié et martyrisé, et au-dessus de sa tête, un seul titre : « Roi ». Cela semble insupportable à la foule. Comment ce roi, s’il l’était vraiment, peut-il se laisser ainsi humilier et clouer sur une croix ? Quel est donc ce roi qui semble impuissant ? On réclame des preuves. On veut même une preuve éclatante : qu’il descende de la croix, si vraiment il est ce qu’il prétend être.

Tentation ultime pour Jésus. Il pourrait le faire. Il pourrait renoncer à se donner jusqu’au bout pour se reprendre maintenant, et faire éclater aux yeux du monde sa puissance. Il pourrait faire tomber le feu du ciel sur ces pharisiens et ces soldats qui ont son sang sur leurs mains. Une armée d’anges pourrait venir à son secours, comme Il le rappelait à St Pierre. Mais non. Jésus se tait. « Père, pardonne-leur… ils ne savent pas… ». Jésus continue d’aimer.

La puissance de Dieu va se manifester dans le don total, dans cet Amour offert jusqu’au bout. Jésus est Roi car Il terrasse le mal, non pas en le supprimant, mais en l’affrontant jusqu’à en être victorieux dans notre vie. Cette victoire s’aperçoit déjà pour le « bon larron ». Jésus par la puissance de sa miséricorde fait de ce criminel le premier saint de l’histoire. Voilà comment se manifeste réellement la puissance du Seigneur. Non dans le fracas ou la vengeance, mais dans notre vie, dans l’intime de notre âme, quand elle se laisse aimer et sauver. La puissance de Dieu, c’est sa miséricorde…

Père Pierre-Hervé Grosjean +

Edito du 20 novembre 2016