Jeudi 18 octobre, 7h, Messe « St Joseph » [pour les maris, pères de famille, pour leur travail], église St-Cyr.
Jeudi 18 octobre, 20h, conférence St Vincent de Paul, chez les Verdière.
Archive pour le mois : octobre, 2018
Nous recherchons :
1- en urgence des catéchistes avec un peu d’expérience pour prendre un groupe le vendredi en fin d’après midi ou le samedi matin. Vous serez en binôme avec un ou une adjoint(e).
2- en urgence deux animateurs d’aumônerie pour le groupe des 4èmes.
Un samedi matin, tous les 15 jours. (9h30-11h).
3- des préparateurs pour les messes (préparation matérielle ou liturgique.
4- des volontaires pour monter une petite équipe qui portera toutes
les questions de patrimoine : réalisation d’un niche d’exposition pour le reliquaire de la paroisse, etc…
Il est maintenant urgent de vous inscrire pour le WE au Puy du Fou du 22 au 24 octobre.
Ce WE est ouvert à TOUS les lycéens de la paroisse, qu’ils soient dans le privé ou le public, qu’ils soient inscrits à l’aumônerie ou pas.
Flyers et feuilles d’inscription au fond de l’église et au presbytère.
En cas de difficultés financières, contacter le Père Grosjean.
Paroissiens récents ou plus anciens, n’oubliez pas de contribuer au denier de l’Eglise !
Comme vous le savez, notre paroisse recevra une subvention du diocèse si nous réussissons à faire encore mieux que l’année dernière (montant total ou nombre de donateurs) !
Merci à chacun de votre générosité. Tout don est précieux, même le plus modeste !
Il est disponible au presbytère, aux horaires d’ouverture de l’accueil. Paiement par chèque ou espèces.
Conférence de lancement à la cathédrale St Louis de Versailles, mardi 16 octobre à 20H30.
Les parcours d’accompagnement des personnes séparées ou divorcées
débutent mi-novembre : les 17-18 novembre pour celles engagées dans une nouvelle union, les 24-25 novembre pour celles vivant seules.
Toutes les infos sont à retrouver sur www.famille78.fr
Contact : Service de la Mission pour la famille – 01 30 97 68 78 – famille@catholique78.fr
Le service téléphonique Familyphone, proposé par le diocèse de Versailles, reçoit de façon anonyme les appels de toutes les personnes ayant des difficultés d’ordre conjugal et familial et les oriente concrètement vers les compétences susceptibles de les aider.
La Mission pour la famille recrute des «écoutants» (deux heures par semaine) et
recherche des professionnels qualifiés pour répondre aux besoins des couples et des familles.
Contact : Mission pour la famille famille@catholique78.fr – 01 30 97 68 78
Les lectures de ce jour nous invitent à méditer sur la vocation conjugale. On peut parler de vocation naturelle quand on évoque le mariage. Il y a bien en effet un appel à l’amour conjugal inscrit dans notre nature humaine, comme le Livre de la Genèse nous aide à le découvrir. Remarquons que dans ce récit se révèle l’égale dignité de l’homme et de la femme, à travers l’émerveillement d’Adam découvrant Ève, « la chair de sa chair ». Cet amour conjugal amène les époux à s’attacher fidèlement l’un à l’autre, et à ne faire plus qu’un.
On comprend mieux pourquoi Jésus renvoie à ce projet initial de Dieu, quand on l’interroge sur la possibilité de répudier sa femme. Cette possibilité n’est pas ajustée à ce que Dieu a voulu pour le couple : la fidélité, l’unité, l’égale dignité aussi. Jésus veut nous rendre capables de ce que Dieu a voulu à l’origine. Il va même aller plus loin, faisant du mariage une vocation à la sainteté, un chemin de sainteté, un sacrement qui rend saint.
Le célibat consacré n’est donc pas « naturel » en soi, il est surnaturel, c’est à dire une réponse à un appel du Seigneur. Il y a un réel manque, parfois douloureux, mais auquel le ou la consacré(e) consent librement, pour aimer autrement. Sa mission donne un sens à ce célibat.
Le célibat non choisi ou la solitude que beaucoup vivent sans l’avoir voulue est bien souvent une épreuve. L’enjeu est alors de vivre l’expérience du don de soi autrement, laissant ce « creux » se remplir par une autre présence, celle du Sauveur.
Bien sûr, ici-bas nous essayons – chacun avec ce que nous portons – de correspondre de mieux en mieux à ce projet de Dieu. Lui-même se plaît à y travailler, en nous transformant peu à peu, en réparant aussi les blessures que ce projet a pu subir. Quel que soit notre état de vie, nous sommes appelés à une vie donnée ! Et c’est bien aussi en cela que nous sommes créés à l’image de Dieu, appelés à aimer.
Abbé GROSJEAN, curé
Edito du 7 octobre 2018